Avec les beaux jours qui reviennent, les envies de sortie ne manquent pas. Si votre chien vous accompagne, il vous faudra préparer sa valise également : elle devra contenir ce qu’il faut pour qu’il garde ses repères, pour que vous puissiez le nourrir et le désaltérer, voire éventuellement pour le soigner. Ce qui nous donne :
Souvenez-vous, il y a quelques semaines, une entreprise bordelaise proposait le fichage du code génétique des chiens pour « pister » leurs maîtres indélicats laissant les déjections sur le trottoir ou même dans le caniveau. En parallèle, on apprenait que la ville de Londres allait mettre en place dès septembre 2016 cette méthode par ailleurs déjà appliquée en Espagne – à Tarragone – en Italie (eh oui, ne pas ramasser à Capri, c’est fini…) ou même aux Etats-Unis (Chicago, Knoxville).
Le ver le plus courant est le ténia, de son petit nom Dipylidium caninum, qui est souvent un dommage co-latéral de l’attaque des puces. Les deux prises annuelles de vermifuge sont donc les bienvenues au printemps et à l’automne quand les populations de parasites sont à leur plus haut niveau de développement.
Ce matin, vous êtes pressé(e). Une réunion importante à laquelle vous ne pouvez pas vous permettre d’arriver en retard. Le portable collé à l’oreille, vous êtes en train de régler les derniers détails avec votre collègue et vous avez juste eu le temps de déposer votre petit dernier à l’école. Peu attentif ou attentive au trottoir sur lequel vous êtes en train de faire de grands pas rapides, soudain vous marchez dedans et lâchez un grand “M…..” dont on ne sait plus s’il s’agit d’un juron ou d’une référence à la matière tout juste piétinée.
